Naïma - Big Red

Seule tu assumes toutes les responsabilités

Et donnes tout c’que t’as sans te préoccuper

De ta propre vie, du futur, de ta santé

Les gosses crient, pleurent, jouent toujours à tes cotés

Tu gueules mais tout le monde s’en fout on dirait

Maintenant au fond de toi tu préfères tout garder

Ce que tu supportes nul ne peut l’encaisser

Naïma devant toi je ne peux que m’incliner

Tu es la déesse de tout ce qu’il y a de bien

Joie tristesse font partie de ton quotidien

La bassesse ne t’a jamais sali les mains

C’qui t’agresse ne connaîtra pas de lendemain

Le respect s’impose quand on te voit

Tu sais tout ça je n’l’invente pas

Discrète tu ne t’exposes pas

Ici rien n’est assez pur pour toi

Seule tu assumes toutes les responsabilités

Et donnes tout c’que t’as sans te préoccuper

De ta propre vie, du futur, de ta santé

Les gosses crient, pleurent, jouent toujours à tes cotés

Tu gueules mais tout le monde s’en fout on dirait

Maintenant au fond de toi tu préfères tout garder

Ce que tu supportes nul ne peut l’encaisser

Naïma devant toi je ne peux que m’incliner

Tu es le fourreau de mon sabre

Sans toi je suis mauvais et macabre

Non mais dis-moi si tu sais ton amour me calme

Et sans discuter cesse le vacarme

Plus de sales trucs dans mes pensées

Aussi belle que dangereuse

Honnête et plus que généreuse

Que du positif dans tes pensées

Éternellement jeune et sage

Tu n’es que force beauté et partage

Non mais dis-moi si tu le sais

Seule tu assumes toutes les responsabilités

Et donnes tout c’que t’as sans te préoccuper

De ta propre vie, du futur, de ta santé

Les gosses crient, pleurent, jouent toujours à tes cotés

Tu gueules mais tout le monde s’en fout on dirait

Maintenant au fond de toi tu préfères tout garder

Ce que tu supportes nul ne peut l’encaisser

Naïma devant toi je ne peux que m’incliner

Blessée par celle-ci, déçue par celui-là

Ainsi va la vie mais ça tu le sais déjà

Le temps fuit mais ne te marque pas

Ton regard s’endurcit ton sourire ne change pas

Tu es la plus tendre des amies la sœur que l’on a pas

Que meurt celui qui n’as pas compris que le cœur guide tes pas

J'éliminerai toutes les bouches pourries qui oseront parler d’toi

Sachant que de tous ces abrutis tu n’entends pas la voix

Seule tu assumes toutes les responsabilités

Et donnes tout c’que t’as sans te préoccuper

De ta propre vie, du futur, de ta santé

Les gosses crient, pleurent, jouent toujours à tes cotés

Tu gueules mais tout le monde s’en fout on dirait

Maintenant au fond de toi tu préfères tout garder

Ce que tu supportes nul ne peut l’encaisser

Naïma devant toi je ne peux que m’incliner