Beach House - BU$HI, Azur

Tu m’regardes pas dans les yeux, j’ai trouvé ça deep bro

J’fais du deux en un, c’est pour ça qu’ils s’agitent, en clair, on les baise

J’rec' mes sons, fuck si ça leak

J’vaux mieux qu’une ou deux minutes de plaisir, souvent j’ai rêvé d’Afrique,

yeah

Et si mes mains tremblent c’est qu’j’suis en élévation

D’où j’viens, aucune arrestation, ma couleur m’pose aucun problème

J’sais qu’ils en veulent à ma morale, j’chante comme à la chorale

Plein d’voix dans un seul son, derrière, on est seize

J’vois pas d’shout-out, ces négros recherchent un plus un

Tout c’que j’veux dans ma vie est relatif au butin donc go les faire

Dans mon tunnel, j’me concentre pas qu’sur mes visions

Laisse donc, passe ce chemin qui provoque mes adultères

J’suis pas dans l’tabou comme devenir adulte

L’humain modifie tout, même avec les minutes, il a pu l’faire

Hun, hun hun, yeah, yeah

Yeah, hun hun, yeah

T’as passé ta vie à critiquer mon équipe

Quand ça drop, tu cliques, tu t’retiens d’bouger ta tête, gros

Pour cette salope de prof', j'étais juste le pitre

Maintenant j’fais plus de biff que elle, son mari et son daron, yeah

J’ai un feeling avec ta bitch

En cas d’break up, j’ai un stock de groupies gogoles comme Stitch

J’suis pas sûr qu'ça m’aide à satisfaire ma bite

Lyonzon 6.9 la trik, pélo, tu sais déjà où j’habite, yeah

La destination, c’est Saturne, une connasse qui s’met d’la peinture dans la

face, faudrait vraiment qu’tu partes avec elle

J’me sens tellement loin des gens qui étaient proches, ils ont la haine

Voir un nègre, remplir ses poches

Faux frères, fake friends, no love

Faux frères, fake friends, no love

Tout cela est mortel, Jordan aux orteils

C’est que des pétasses, d’vant eux, j’peux pas calmer mon orgueil

Faut que j’remplisse mon portefeuille avant d’remplir ma feuille slim

J’connais même pas c’est qui les biatchs qui sont dans ma carte SIM

Faux frères, fake friends, no love

Faux frères, fake friends, no love

Tout cela est mortel, Jordan aux orteils

C’est que des pétasses, d’vant eux, j’peux pas calmer mon orgueil